Rémi Madar

Né le 29 juillet 1968 à Enghien-les-Bains.
Dès son adolescence, il écrit ses premiers poèmes et commence à lire les grands poètes.
Par la suite il s’oriente vers le roman.

Il se consacre depuis quelques mois à l’écriture d’articles et de notes de lecture pour la revue Poésie/première, ayant déjà rédigé plusieurs textes sur le poète Frédéric Tison, mais également sur Guillevic.
En 1993, il obtient un D.E.A en littérature francophone et comparée qui s’intitule La manifestation du sacré dans l’œuvre d’Eugène Ionesco.
En 1999, il devient professeur dans le secondaire en obtenant le CAPES de lettres-modernes. Il est nommé en collège puis en lycée.

Entre 2015 et 2019, il est chargé de cours d’un C.M -Expression française et stylistique-à l’université de Cergy-Pontoise. Au cours de cette même période, il devient conseiller pédagogique et forme les enseignants stagiaires.
Entre 2003 et 2022, il publie de nombreux livres dont un ouvrage collectif en 2022 dont il est l’initiateur et le préfacier et qui s’intitule Paroles de jeunes sur le chemin de Compostelle aux éditions Mon Petit Editeur.
Il publie respectivement les romans suivants : Voilà, Maisons Providentielles, aux éditions Publibook, puis La voie des maîtres, Odyssée pour les voyants, Gifles, Implacable, Une voie pour une voix, Des étoiles dans les yeux, Humains régénérés aux éditions Mon Petit Editeur et Voyageurs aux éditions Maia.
Son dernier ouvrage paraît en 2024 aux éditions Mon Petit Editeur, il s’intitule Les différents contours du voyage, Une expérience solitaire et collective : c’est un essai sur les bienfaits de la marche et non mouvement.
En août 2024, l’écrivain franco-ontarien, Aristote Kavungu lui dédie son dernier livre sur Louis-Ferdinand Céline, Céline au Congo aux éditions Boréal. Dans cet essai, Kavungu cite une de ses réflexions critiques sur l’écrivain Céline.